J'ai testé pour vous !
La semaine dernière, tout en me faisant les jambes toutes douces, la réflexion suivante m'est venue :
Quand j'ai commencé a utilisé un engin de torture épilateur électrique, il y a de cela bien des années, un seul poil arraché à mes mollets était un véritable supplice. Je le subissais stoïquement, en serrant les dents et en montant le volume sonore de ma musique (de préférence Beethoven, les 5ème, 8ème et 9ème symphonies pour l'épilation).
Puis le temps et la régularité aidant, les mollets s'habituèrent. C'est alors que je tentais de remonter un peu, en attaquant les cuisses. Une fois encore, j'ai monté le son, pour le plaisir de ma famille et des voisins, mais je n'ai pas laché l'affaire.
Maintenant, je dis pas que c'est une partie de plaisir, mais plus du tout cette douleur initiale du poil arraché, si si, je vous assure, même le derrière de la cuisse, là où c'est ultra sensible.
Donc, la semaine dernière en m'épilant, je me disais que je devrais peut-être tenter une expérience. D'autant plus que la technologie fait maintenant des épilateurs anti-douleur avec des applicateurs de froid. Alors, je me suis lancée, j'ai levé le bras et me suis attaquée à mon aisselle gauche. AÏ-YEU ! Bon, heureusement qu'il y avait le système anti-douleur, sinon, qu'est-ce que ça aurait été ! J'ai réussi à terminer l'aisselle gauche, mais pas eu le courage de m'attaquer à la droite, d'autant plus que l'applicateur de froid commençait à être plutôt tiède, donc inefficace.
Pour la symétrie, j'ai attrapé un rasoir pour le côté droit. Au bout d'une semaine, y'a pas à dire, à gauche c'est toujours nickel, mais à droite tout est à refaire. Aurai-je le courage de m'y attaquer radicalement ? J'ai beau me dire qu'on s'habitue à la douleur, heu, comment dire, j'suis pas maso non plus !