Coco Farm
Suite des activités de ce mois de novembre bien rempli. Le week-end du 18-19 nous sommes allés, comme l’année dernière, celle d’avant et celle d’avant encore (bref, depuis que je suis arrivée au Japon), à Ashikaga pour le festival de vin de Coco Farm. Je vous ai déjà raconté ça l’année dernière (pour vous rafraîchir la mémoire, c’est par ici), donc je vais faire bref. Si le temps était magnifique le samedi, ça n’a pas été le cas le dimanche, et dès 10 heures du matin, il s’est mis à pleuvoir. Autant dire que c’était pas jojo, et que la vente des fromages s’en est ressentie...
Comme tous les ans, ce déplacement dans le Tochigi a aussi été l’occasion d’aller manger un anmitsu dans le café d’un des amis de Jean. Ce monsieur continue à préparer ce dessert complètement par lui-même (sans recourir aux gelées toutes faites et autres), et à ses moments perdus, il peint des cailloux. Pas au feutre et de façon uniforme comme on le faisait avec les cousines à Roussas, bien sûr. Il choisit des galets bien ronds ou aux formes rigolotes, et peint des personnages, pour la plupart des dessins animés des studios Ghibli. Commes il n’y a plus de place dans son tout petit café pour accueillir ses œuvres, il a commencé à les déposer dans le petit parc voisin. Et chaque année, il nous fait cadeau de l’une de ces créations.
Une coccinelle-pingouin (selon la face que l’on regarde) pour Gardiner, et un caillou-jeu de mots pour moi, qui s’accorde plutôt bien au sujet de ma dernière leçon d’anglais :
Vous reconnaissez le bestiau...
et de l’autre côté, qu’est-ce que c’est ? oui, bon, je reconnais qu’il faut un peu d’imagination...
Vous donnez votre langue au chat ?
C’est du PAIN ! Et en japonais, « c’est du pain » se dit PAN-DA.
AH AH AH !!!